L’antenne Panthéon du Laboratoire de la République a le plaisir de vous inviter à une table ronde consacrée à un enjeu majeur de notre temps : la responsabilité de l’État dans la protection des milieux marins, face au dérèglement climatique et à l’accélération de la crise écologique avec Guillaume Sainteny et Joëlle Casanova.
Alors que les écosystèmes marins subissent une pression sans précédent — réchauffement des eaux, pollution, effondrement de la biodiversité — le rôle de l’État, ses obligations juridiques et ses leviers d’action deviennent des questions fondamentales pour notre avenir commun. Cet événement vise à éclairer ces enjeux avec précision et nuance, en donnant la parole à deux spécialistes reconnus.
Deux intervenants de référence
Pour analyser les défis juridiques, environnementaux et économiques liés à la sauvegarde de nos espaces maritimes, nous aurons l’honneur d’accueillir :
Guillaume Sainteny, président du Plan Bleu pour l’environnement et le développement en Méditerranée
Joëlle Casanova, magistrate et vice-présidente de l’Association française des magistrats pour la justice environnementale
Un moment pour comprendre, débattre et agir
Cette soirée sera l’occasion de mieux saisir :
les responsabilités juridiques de l’État face à la dégradation des océans ;
les instruments d’action publique existants ou à imaginer ;
les perspectives d’avenir pour renforcer la protection des milieux marins ;
les enjeux géopolitiques et économiques associés à la mer.
Quand ? Mardi 9 décembre 2025 à 19hOù ? au Centre Panthéon de l'Université d'Assas – Salle 0312 place du Panthéon, Paris 5e
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À l’occasion du 120ᵉ anniversaire de la loi du 9 décembre 1905 consernant la séparation des Églises et de l’État, le Laboratoire de la République vous propose un temps fort le dimanche 7 décembre à 15h à La Scala Paris. La représentation de la pièce Le Professeur, écrite par Émilie Frèche, mise en scène par Muriel Mayette-Holtz et interprétée par Carole Bouquet, sera suivie d’un échange avec Émilie Frèche et Iannis Roder autour des enjeux de la laïcité dans nos sociétés contemporaines.
Il y a 120 ans, la loi du 9 décembre 1905 consacrait la séparation des Églises et de l’État, posant les fondations de la laïcité française. Ce principe, garant de la liberté de conscience et de la neutralité de l’État, reste au cœur de notre pacte républicain.Pour célébrer cet anniversaire et rappeler la force toujours actuelle de ce texte, le Laboratoire de la République propose un moment de réflexion et de partage à travers la pièce Le Professeur.
Écrite par Émilie Frèche, Le Professeur retrace les derniers jours de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie assassiné en octobre 2020 après avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo lors d’un cours sur la liberté d’expression. La mise en scène de Muriel Mayette-Holtz et l’interprétation poignante de Carole Bouquet rendent hommage à son engagement et questionnent la place de l’école, de l’autorité et du savoir dans notre société.
À l’issue de la représentation, un débat sera organisé au restaurant du théâtre avec Émilie Frèche, écrivaine et scénariste, et Iannis Roder, professeur agrégé d’histoire et membre du Conseil des sages de la laïcité.
Cet échange, initié par le Laboratoire de la République, s’inscrit dans une réflexion plus large sur l’héritage et la portée contemporaine de la loi de 1905. Plus d’un siècle après sa promulgation, alors que notre société est traversée par de nouvelles formes de revendications identitaires et religieuses, cette loi demeure un repère essentiel pour penser l’unité républicaine et la liberté de chacun.
📍 La Scala Paris, 13 boulevard Strasbourg, 75010
🗓️ Dimanche 7 décembre, 15h
🎟️ Tarifs : entre 15 € et 56 €👉 Réservation directement sur le site de La Scala Paris
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Il y a cent vingt ans, la France adoptait la loi du 9 décembre 1905, établissant la séparation des Églises et de l’État. Ce texte, devenu pilier de notre pacte républicain, continue de structurer notre vision collective de la liberté, de l’égalité et de la neutralité de l’État.
Alors que s’ouvre l'anniversaire, le Laboratoire de la République, en partenariat avec le Parti Radical, la LICRA et le Comité Laïcité République, organise une conférence exceptionnelle intitulée « Les nouvelles frontières de la laïcité », le 6 décembre à 9h30.
La laïcité n’est pas un principe figé : elle est un cadre vivant, toujours réinterrogé par les évolutions sociales, politiques et culturelles de notre époque. Cette conférence entend précisément éclairer les tensions, les défis et les nouveaux horizons qui se dessinent autour de ce principe fondateur. Elle sera introduite par Nathalie Delattre, présidente du Parti Radical.
La matinée s’articulera autour de deux tables rondes :
1. Une loi de libertés
Avec :
Benjamin Morel, constitutionnaliste et secrétaire général du Laboratoire de la République
Jacqueline Lalouette, historienne
Galina Elbaz, avocate et vice-présidente de la LICRA
Cette première séquence reviendra sur l’esprit de la loi de 1905, sur sa cohérence interne et sur la manière dont elle continue de garantir un espace commun fondé sur la liberté de conscience et l’égalité de traitement.
2. Sortir d’une posture défensive : quelles nouvelles perspectives ?
Avec :
Delphine Girard, membre du Conseil des sages de la laïcité
Michel Lalande, responsable de la Commission Laïcité du Laboratoire de la République, préfet honoraire
Gilbert Abergel, président du Comité Laïcité République
Cette seconde table ronde se penchera sur les transformations sociétales récentes, les pressions auxquelles la laïcité est confrontée et les réponses à inventer pour mieux la transmettre, la faire comprendre et la réaffirmer.
La conférence sera conclue par Jean-Michel Blanquer, président du Laboratoire de la République.
Plus qu’un simple anniversaire, cette rencontre se veut être un moment d’intelligence collective, où experts, acteurs publics et citoyens pourront explorer ensemble les nouvelles frontières d’un principe qui demeure au cœur de notre vie démocratique.
Quand ? Samedi 6 décembre 2025 de 9h30 à 12hOù ? 1 Place de Valois, Paris 1er
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Comment conjuguer liberté religieuse et vivre-ensemble dans notre République ?
C’est à cette question brûlante qu’ont répondu, le 24 septembre 2025 à Bordeaux, le grand imam Tareq Oubrou, le professeur de droit public Ferdinand Mélin-Soucramanien, la présidente de la LICRA Bordeaux-Gironde Sarah Bromberg et le prêtre Basile Dumont. Entre cadre juridique, éducation des jeunes, égalité femmes-hommes et diversité des pratiques spirituelles, la soirée a offert un débat riche et sans détour sur la laïcité, ce pilier républicain qui nous unit tous.
Le 24 septembre 2025, le Laboratoire de la République inaugurait son antenne bordelaise à l’occasion d’une conférence consacrée au thème « Laïcité et religions : quels chemins pour vivre ensemble ? », en présence de Ferdinand Mélin-Soucramanien (professeur de droit public), Tareq Oubrou (grand imam de Bordeaux), Sarah Bromberg (présidente de la LICRA Bordeaux-Gironde) et de Basile Dumont (prêtre de la paroisse de Talence).
Les échanges ont permis d’explorer ce principe fondateur de la République sous ses dimensions historique, juridique, sociologique et contemporaine, confirmant que la laïcité est une condition essentielle du vivre-ensemble, tout en révélant les tensions qui traversent son application dans un contexte marqué par la pluralité religieuse et l’évolution des pratiques sociales.
Un cadre historique et juridique en constante évolution
La laïcité s’enracine dans des jalons législatifs majeurs, comme le souligne Ferdinand Mélin-Soucramanien : la laïcisation de l’enseignement en 1882, la séparation des Églises et de l’État en 1905, ou encore la récente loi de juillet 2025 contre le racisme et l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur. Trois piliers en structurent la définition : liberté de conscience, séparation de l’État et des cultes, et obligation de se conformer aux règles communes sans invoquer ses croyances.
Le Conseil constitutionnel a lui-même cherché à la définir, notamment dans une décision de 2004, au moment où se posait la question de l’articulation entre la Constitution française et le projet de Traité pour une Constitution européenne. Il avait alors affirmé que la laïcité interdit à quiconque de se prévaloir de ses croyances religieuses pour s’affranchir des règles communes. Cette interprétation, à laquelle Ferdinand Mélin-Soucramanien dit se rallier, fait de la laïcité non seulement une garantie de liberté mais aussi une condition du vivre-ensemble et un pilier de la République.
Religion, société et jeunesse : des rapports contrastés
Loin d’être un principe figé, la laïcité s’adapte aux évolutions sociétales. Tareq Oubrou rappelle que toute religion ne se vit pas seulement, elle se pense également. Faute d’un travail d’interprétation et de médiation doctrinale, une « sainte ignorance » traverse toutes les religions. L’accès direct et sans filtre aux contenus religieux via les réseaux sociaux favorise ce qu’il appelle une « désécularisation sauvage », où les jeunes, souvent plus connectés à TikTok qu’à leurs propres parents ou à des médiateurs, se montrent parfois plus religieux que la génération précédente.
Dès lors, l’enjeu de la transmission devient central. « On ne peut pas obliger quelqu’un à adorer Dieu », rappelle Tareq Oubrou, soulignant que la coercition religieuse, physique ou psychologique, est non seulement juridiquement interdite mais théologiquement vaine. La foi suppose liberté et intention. D’où l’importance, selon lui, d’introduire le doute, la pédagogie et une éducation au discernement dès l’enfance.
Dans cette perspective, Sarah Bromberg insiste sur la dimension éducative et citoyenne de la laïcité, notamment auprès des jeunes, mais aussi sur l’égalité entre femmes et hommes, qui doit demeurer un principe intangible dans la société.
Liberté religieuse, espace public et ordre républicain
La laïcité se situe à l’intersection de la liberté religieuse garantie par le droit, y compris européen, et de la neutralité attendue des institutions. Les discussions ont rappelé une distinction fondamentale : si les agents du service public doivent rester neutres, l’espace public ne saurait être totalement aseptisé.
Ferdinand Mélin-Soucramanien a insisté sur la nécessité de renforcer la neutralité dans certains services particulièrement sensibles, comme l’hôpital public et les transports. Mais il met en garde contre une crispation excessive sur les signes religieux dans l’espace public.
Cette distinction a été largement reprise par les intervenants : la République est laïque, mais l'ensemble des individus constituant notre société ne l’est pas. La laïcité n’est pas une religion ni une idéologie, mais une branche commune « sur laquelle tout le monde est assis », selon l’expression de Tareq Oubrou, et que chacun, croyant ou non, a le devoir de défendre car elle protège tous les citoyens.
Une recomposition du paysage religieux
Les évolutions religieuses en France reflètent à la fois un reflux global et des dynamiques de renouveau. Basile Dumont souligne par exemple l’augmentation significative du nombre d’adultes demandant le baptême, multiplié par deux en quelques années, signe d’un regain de quête spirituelle. En parallèle, les travaux de politistes comme Yann Raison du Cléziou mettent en évidence un mouvement plus général de reflux des pratiques religieuses.
Tareq Oubrou cite aussi Peter Berger, sociologue américain, qui dès les années 1980 constatait le retour du religieux dans l’espace politique, notamment à travers les mouvements évangéliques. La France n’échappe pas à cette recomposition, où coexistent désaffiliation et réinvestissement religieux.
Perspectives et recommandations
Les intervenants ont formulé plusieurs recommandations pour l’avenir :
• Clarifier davantage encore la distinction entre liberté dans l’espace public et règles strictes de neutralité dans les services publics, à renforcer dans certains services particulièrement sensibles.
• Promouvoir une sensibilisation large aux valeurs républicaines et encourager un dialogue respectueux entre convictions.
• Encourager un portage politique large de la laïcité, afin qu’elle demeure un projet républicain d’espérance partagé et défendu par le plus grand nombre.
• Développer une éducation au discernement et à la liberté de conscience, en protégeant les jeunes contre toute forme de coercition.
https://www.youtube.com/watch?v=SxaB1GuYIg4
Le Laboratoire de la République poursuit son développement en région et ouvre une antenne à Bordeaux. Pour marquer cette implantation, une première conférence est organisée le mercredi 24 septembre 2025 à 18h30, à l’Amphi Ellul du Pôle juridique et judiciaire de l’Université de Bordeaux.
Conçu comme un principe protecteur garantissant à chacun la liberté de croire ou de ne pas croire, ce pilier républicain suscite aujourd’hui de nombreuses interrogations, et parfois même des crispations. Dans une société plus diverse que jamais, comment faire de la laïcité non pas une ligne de fracture, mais un langage commun qui nous permette de mieux vivre ensemble ?
Cette rencontre, ouverte à toutes et tous, permettra d’engager un débat constructif autour de cette valeur fondatrice de la République, en présence d’étudiants, de citoyens et de personnalités engagées. Elle donnera également le coup d’envoi d’un cycle d’initiatives et de réflexions porté par la nouvelle antenne bordelaise du Laboratoire de la République.
Avec :
Ferdinand Mélin-Soucramanien – Professeur de droit public à l’Université de Bordeaux, constitutionnaliste
Sarah Bromberg – Présidente de la LICRA Bordeaux-Gironde
Tareq Oubrou – Grand Imam de Bordeaux
Basile Dumont – Prêtre de la paroisse de Talence
et le témoignage du Rabbin de Bordeaux Moïse Taïeb
Quand ? Mercredi 24 septembre 2025 – 18h30
Où ? Amphi Ellul, Pôle juridique et judiciaire, Université de Bordeaux,
35 place Pey Berland, 33000 Bordeaux
Inscription obligatoire
Attention : Nombre de places limité
Cliquez ici pour vous inscrire
C’est dans le cadre feutré et intellectuellement stimulant de la Maison de l’Amérique latine qu’a eu lieu, le 12 mai, une nouvelle édition des "Conversations éclairées", autour de Renée Fregosi, philosophe et politologue, ancienne maître de conférences à la Sorbonne Nouvelle. Elle y présentait son dernier essai "Le Sud global à la dérive. Entre décolonialisme et antisémitisme", paru aux éditions Intervalles.
Un concept flou, une réalité préoccupante
Animée par Brice Couturier, journaliste et essayiste, et Chloé Morin, politologue, la discussion a permis d’éclairer un terme désormais omniprésent dans les discours politiques et militants : le "Sud global". Loin d’un simple substitut post-colonial aux "pays du tiers-monde", ce concept agrège aujourd’hui des pays aux trajectoires historiques, politiques et culturelles très différentes — de l’Amérique latine à l’Afrique subsaharienne, du Proche-Orient à l’Asie du Sud-Est — autour d’un discours de ressentiment à l’égard de l’Occident.
Mais que recouvre réellement cette notion ? Pour Renée Fregosi, le Sud global n’est pas tant une réalité géopolitique qu’une fiction idéologique, forgée sur des bases émotionnelles et identitaires, où s’opèrent des glissements sémantiques dangereux. Ce conglomérat mouvant, en apparence uni dans la dénonciation des puissances occidentales, masque en réalité des allégeances autoritaires et des contradictions profondes, notamment autour de la liberté, de la démocratie, des droits humains ou de l’universalisme.
Une dérive politique et morale
Au cœur de l’ouvrage et de la discussion, la critique du discours décolonial, qui tend à essentialiser les peuples et à opposer systématiquement l’"opprimé" du Sud au "colonisateur" du Nord. Ce renversement moral, explique R. Fregosi, conduit parfois à réhabiliter des régimes autoritaires ou à excuser l’intolérable, au nom d’un anti-occidentalisme radical. Elle pointe ainsi les convergences de certains États du Sud global avec l’axe Moscou-Ankara-Téhéran, qui se présente aujourd’hui comme une alternative à l’ordre libéral international.
Plus troublant encore, selon R. Fregosi : la manière dont certains segments du Sud global et de ses soutiens dans les sociétés occidentales reprennent ou tolèrent des discours antisémites, dissimulés sous des postures "antisionistes". Une confusion lourde de conséquences, où l’hostilité envers Israël sert souvent de paravent à une haine plus ancienne et plus profonde.
Un appel à la vigilance et à la lucidité
Renée Fregosi a plaidé pour une lecture lucide et critique des nouvelles alliances géopolitiques, des discours idéologiques qui les accompagnent, et des effets délétères de l’importation dans les sociétés démocratiques de conflits et de logiques identitaires exogènes. Elle appelle à ne pas céder à l’illusion d’un Sud global uni et progressiste, là où dominent parfois autoritarisme, cléricalisme et rejet des valeurs universalistes.
https://youtu.be/zKWhBYmT8_s
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