La proposition de loi du sénateur LR de l'Isère Michel Savin visant à assurer le respect du principe de laïcité dans le sport a été adoptée en première lecture au Sénat, le 18 février dernier.
Son article premier dispose que "lors des compétitions départementales, régionales et nationales organisées par les fédérations sportives délégataires, leurs organes déconcentrés, leurs ligues professionnelles et leurs associations affiliées, le port de tout signe ou tenue manifestant ostensiblement une appartenance politique ou religieuse est interdit aux acteurs de ces compétitions".
En apparence, cette réponse légale règle donc de manière claire le malaise qui entoure la question du rapport problématique entre sport et neutralité. En apparence seulement, car comme l’ont montré les discussions électriques au Sénat, le chemin est encore long avant que cette décision ne trouve un ancrage serein dans le milieu du sport en France, et dans la société en général.
Cette table ronde, animée par des experts de terrain, des universitaires, des présidents de fédération sportives et des hommes politiques, se propose de répondre aux nombreuses interrogations que la proposition de loi a fait resurgir.
Que faire en cas de non-adoption de la loi à l’Assemblée ? Faut-il souhaiter une application généralisée à toute pratique sportive en club, au-delà des seules compétitions ? Cette loi porte-t-elle les graines d’une stigmatisation de l’islam ? Le durcissement des lois sur la neutralité est-elle le seul chemin envisageable pour un meilleur vivre-ensemble dans le sport ?
Autant de questions qui demandent plus que jamais une parole raisonnée et tempérée par un rapport intime à la pratique du terrain, afin que le sport reste ce qu’il doit être : un formidable outil de vivre-ensemble, de partage et de solidarité.
Informations pratiques :
Quand ? jeudi 20 mars, 19h00
Où ? Maison de l'Amérique latine, 217 Bd. Saint-Germain, 75006 Paris
Tarif : Gratuit
Inscription obligatoire en ligne
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Le mercredi 29 février, la Maison de l'Amérique latine a accueilli une nouvelle "Conversation éclairée" animée par Brice Couturier et Chloé Morin, qui ont invité Mona Jafarian pour présenter son ouvrage "Je suis iranienne", publié aux éditions de l'Observatoire.
Il est des combats qui définissent la marche du monde. La lutte que mène la société iranienne contre les mollahs est de ceux-là. Depuis la mort de Mahsa Amini le 16 septembre 2022, les femmes et les hommes iraniens n'ont cessé de manifester contre le régime de terreur iranien, parfois au prix de leur vie.
En se faisant l'écho des voix de ces femmes, dont les liens de sororité défient la tyrannie, Mona Jafarian nous offre une bouleversante immersion dans la société iranienne d’aujourd’hui.
L'occasion pour le Laboratoire d'évoquer avec elle le futur de la société iranienne, les bouleversements géopolitiques à venir au Proche et Moyen-Orient, et surtout de mesurer à quel point l'ardeur de la liberté ne faiblit pas malgré la répression violente.
https://www.youtube.com/watch?v=X2ngEs3VpaQ
Débat organisé le lundi 3 mars à 19h dans les locaux de Paris Panthéon-Assas par la Commission République Sociale du Laboratoire de la République.
La conviction que le mérite et le travail permettent de monter dans l’échelle sociale et salariale est essentielle au bon fonctionnement de la société. Or, en France, la progression de la mobilité sociale pour les jeunes, et en particulier des jeunes hommes, semble s'être interrompue depuis une vingtaine d’années. Un jeune issu d’une famille parmi les 20 % les plus aisées aurait en moyenne trois fois plus de chances qu’un jeune de famille modeste de figurer parmi les 20 % les plus aisés de sa génération.
Face à cette situation dangereuse pour la cohésion nationale et contraire à la promesse républicaine, les politiques publiques d’éducation, d’emploi et de formation, sans compter les politiques fiscales, doivent être davantage mobilisées.
Comment redonner réalité à l’égalité des chances et à la mobilité sociale aujourd’hui est l’objet du débat organisé le lundi 3 mars à 19h dans les locaux de Paris Panthéon-Assas par la Commission République Sociale du Laboratoire de la République avec pour invités : Jean-Michel Blanquer, président du Laboratoire et ancien ministre de l’éducation, Antoine Foucher, président de Quintet et auteur de « Sortir du travail qui ne paie plus », et François-Afif Benthanane, fondateur de l’association ZUPdeCO, qui vise à offrir un soutien scolaire gratuit à des collégiens.
Le débat sera introduit par Louis-Charles Viossat, ancien conseiller social du Premier ministre Dominique de Villepin, coordinateur de la Commission République Sociale, et sera animé par Swann Riché et Chloé Saintrapt.
Informations pratiques :
Quand ? Lundi 3 mars, 19h00
Où ? Université Paris Panthéon-Assas, Centre Assas, salle 214, 92 Rue d'Assas 75006 Paris
Tarif : Gratuit
Inscription obligatoire en ligne
Inscription ici
« Le jeudi 27 mars, au Centre Universitaire Méditerranéen (CUM) de Nice, le Laboratoire de la République organise un événement exceptionnel à l’occasion du lancement de son antenne niçoise. Cette conférence inaugurale aura pour thème: «
L’éducation et la République au service d’un idéal de société ».
Jean-Michel Blanquer, ancien ministre de l’éducation nationale, président du Laboratoire de la République et Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur et Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, échangeront sur ces enjeux cruciaux pour notre société et le modèle démocratique que nous voulons promouvoir.
La conférence sera précédée d’une séance de dédicace de l’ouvrage de Jean-Michel Blanquer : « La citadelle ».
A l'occasion de l'ouverture de sa nouvelle antenne à Nice, le Laboratoire de la République organise une conférence au Centre Universitaire Méditerranéen, en présence de Jean-Michel Blanquer et Christian Estrosi. Cette rencontre sera l'occasion d'explorer les liens entre éducation et citoyenneté, et d'aborder les ambitions de société qu'ils peuvent engendrer.
Dans un contexte où les valeurs républicaines et les défis éducatifs sont plus que jamais au cœur des préoccupations, cette rencontre mettra en lumière l'importance de l'éducation pour renforcer les valeurs républicaines et favoriser l'égalité des chances. Elle permettra également de comprendre comment les politiques éducatives peuvent contribuer à la cohésion sociale et à la citoyenneté, en répondant aux défis actuels de l'éducation en France.
Programme de l'événement :
17h : Dédicace du livre "La Citadelle" de Jean-Michel BlanquerEn partenariat avec la librairie Jean Jaurès, Jean-Michel Blanquer, ancien Ministre de l’Éducation nationale et Président du Laboratoire de la République, dédicacera son ouvrage "La Citadelle".
18h – 19h30/45 : Conférence du Laboratoire de la RépubliqueLa conférence, intitulée « L’éducation et la République au service d’un idéal de société », sera animée par Jean-Michel Blanquer et Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur et Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur afin de partager leurs visions et engagements pour l'éducation et la République.
Informations pratiques :
Quand ? Jeudi 27 mars, 17h00 pour la séance de dédicace et 18h00 pour la rencontre
Où ? Centre Universitaire Méditerranéen, 65 Prom. des Anglais, 06000 Nice
Tarif : Gratuit
Inscription obligatoire en ligne
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Le Laboratoire de la République saisit chaque opportunité pour enrichir sa réflexion et élargir son réseau à l’international. Profitant de la présence en Amérique latine d’un de ses chargés de mission, Erévan Rebeyrotte, l’association engage une série de rencontres avec des acteurs politiques, intellectuels et économiques du continent.
Pour cette première lettre d’Amérique latine, nous nous rendons à la ciudad de Mexico pour rencontrer Jorge Castañeda, intellectuel et homme politique mexicain de premier plan. Ancien ministre des Affaires étrangères du Mexique (2000-2003) et représentant du pays aux Nations unies, il a également enseigné dans plusieurs universités prestigieuses, dont la Universidad Nacional Autónoma de México, Princeton, New York, Cambridge et Sciences Po Paris. Figure influente de la diplomatie latino-américaine, il partage son analyse sur les relations internationales du Mexique, notamment avec les États-Unis, l’Europe et la France, dans un contexte marqué par des tensions économiques, migratoires et diplomatiques.
Erévan Rebeyrotte : Avec la réélection de Donald Trump, le Mexique doit affronter des tensions commerciales accrues, notamment avec l’imposition de nouveaux droits de douane sur l’acier et l’aluminium. Comment le Mexique peut-il répondre à ces défis et préserver sa souveraineté économique et territoriale ?
Jorge Castañeda : Les défis sont dangereux et difficiles à surmonter. S’il s’agissait d’un simple différend commercial, on pourrait adhérer ou non aux théories de Donald Trump. Les déséquilibres commerciaux résultent souvent de subventions. En 2024, les États-Unis et le Mexique affichent un déficit commercial de 171 milliards de dollars, une somme relativement modeste par rapport à leur produit national, mais néanmoins conséquente. Cependant, la question dépasse le cadre strictement économique. Trump utilise les droits de douane non seulement à des fins commerciales, mais aussi pour obtenir des concessions du Mexique sur des sujets tels que l’immigration, la sécurité et le trafic de drogue. Le Mexique se voit ainsi contraint de répondre aux exigences de Trump dans ces domaines. Les observateurs étrangers sont frappés par le sentiment et l’identité nationale des Mexicains, mais ils sous-estiment souvent la vulnérabilité du pays face aux États-Unis. Par exemple, environ 60 % de notre électricité provient de centrales alimentées au gaz naturel, dont 70 % est importé des États-Unis. Notre capacité de réserve est d’un jour et demi seulement, ce qui limite considérablement notre marge de manœuvre face à Trump. Toutefois, le Mexique possède quelques leviers de négociation, notamment le pouvoir de décider d’accepter ou non les déportés non nationaux. C’est une carte diplomatique, mais son utilisation est délicate. Sous le premier mandat de Trump, le gouvernement mexicain a cédé sur toute la ligne. La situation risque de se répéter avec la nouvelle administration. Il en va de même pour la Chine : une part significative des exportations mexicaines vers les États-Unis sont en réalité des produits chinois déguisés, transitant par d’autres pays ou entrant clandestinement au Mexique. Trump souhaite un contrôle renforcé de ces marchandises.
Erévan Rebeyrotte : Trump a symboliquement rebaptisé le golfe du Mexique en « golfe d’Amérique », un geste interprété par certains comme une tentative d’affirmation de l’hégémonie américaine. Qu’en pensez-vous ?
Jorge Castañeda : Cela n’a aucune importance. Il est inutile de se battre avec Trump sur ce genre d’absurdités. Le fleuve qui sépare les États-Unis et le Mexique porte déjà deux noms : « Rio Grande » côté américain et « Rio Bravo » côté mexicain. Ce n’est pas un sujet de contentieux. Chaque pays, comme la France, décidera librement de la manière dont il nomme le golfe. Cela ne change rien.
Erévan Rebeyrotte : En réponse aux menaces commerciales de Donald Trump, l’Union européenne et le Mexique ont récemment signé un accord visant à renforcer leurs liens économiques. Pensez-vous que cet accord marque le début d’un réalignement stratégique du Mexique vers l’Europe ?
Jorge Castañeda : Cet accord élargi remplace celui de 1998 en l’améliorant et en l’approfondissant. Cependant, le Mexique en a exclu le chapitre sur l’énergie, ce qui a déçu l’Europe. Il reste encore à obtenir l’approbation des 27 États membres, bien que l’accord soit déjà appliqué.
Erévan Rebeyrotte : Alors que plusieurs pays d’Amérique latine traversent des crises démocratiques et connaissent des dérives autoritaires, quel rôle le Mexique peut-il jouer sous la présidence de Claudia Sheinbaum ? Le pays a-t-il encore suffisamment d’influence pour défendre la démocratie et les droits de l’homme dans la région ?
Jorge Castañeda : La vraie question est de savoir si le gouvernement mexicain actuel et le précédent sont réellement des défenseurs des droits de l’homme et de la démocratie, ou s’ils y sont hostiles. Regardez les dictatures en place à Cuba, au Venezuela, au Nicaragua, et maintenant au Salvador. [Que pensez vous de Javier Milei ?] Pour l’Argentine, il est encore trop tôt pour juger Javier Milei. Il multiplie les décisions extravagantes, mais pour l’instant, la démocratie n’est pas menacée. L’économie, en revanche, est dans une situation critique. Le Mexique lui-même connaît une dérive autoritaire. Le gouvernement a supprimé l’indépendance du pouvoir judiciaire ainsi que les organismes autonomes du pays. Dans quelques mois, il supprimera même les autorités électorales qui ont joué un rôle essentiel dans l’instauration de la démocratie. Il adopte aussi une posture hostile envers les intellectuels et les médias. Dans ces conditions, le Mexique est mal placé pour donner des leçons en matière de droits de l’homme. Les gouvernements actuels et précédents ne se préoccupent pas tant de la démocratie et des droits fondamentaux que de la souveraineté nationale.
Erévan Rebeyrotte : Vous avez représenté le Mexique en tant que ministre des Affaires étrangères lorsqu’il siégeait au Conseil de sécurité de l’ONU. Aujourd’hui, face aux conflits en Ukraine et au Moyen-Orient, l’ONU semble incapable d’imposer des solutions durables. L’organisation est-elle devenue un simple spectateur impuissant face aux rivalités entre grandes puissances ?
Jorge Castañeda : L’ONU a toujours été un spectateur, et pas toujours puissant. Pendant la guerre froide, les États-Unis et la Russie ont souvent utilisé leur droit de veto pour servir leurs intérêts. Aujourd’hui, la rivalité oppose les États-Unis à la Chine, alliée de la Russie. La Russie joue un rôle clé dans la guerre en Ukraine, mais le véritable affrontement à long terme est entre les États-Unis et la Chine. La question essentielle est de savoir si le monde se porterait mieux sans l’ONU et d’autres institutions internationales comme l’OMC, l’OMS, l’UNESCO ou la Cour pénale internationale. Je ne le crois pas. Contrairement aux revendications du Sud global, qui réclame une réforme des institutions pour les rendre plus représentatives du nouvel ordre mondial, je pense qu’il faut améliorer et renforcer l’ordre existant. Les États-Unis, par exemple, devraient ratifier la cinquantaine d’instruments internationaux qu’ils ont toujours refusé d’adopter, comme la Cour pénale internationale, la Convention sur le droit de la mer ou la Convention sur les armes conventionnelles. Cela changerait beaucoup de choses. Mais le Sud global, lui, cherche surtout à accroître le poids de la Chine.
Erévan Rebeyrotte : Quel est le lien entre le Laboratoire de la République et les enjeux communs entre la France et le Mexique ?
Jorge Castañeda : Il est essentiel de réfléchir ensemble au nouvel ordre mondial. Le sommet européen du 17 février à l’Élysée a été un moment clé pour discuter des ambitions renouvelées des États-Unis, notamment sur Gaza, l’Ukraine, le Groenland, le canal de Panama, et peut-être même certaines parties du Mexique. La France joue un rôle central dans la définition d’une réponse européenne aux crises internationales. Cela inclut bien sûr l’Ukraine, mais aussi l’intelligence artificielle, avec le sommet qui s’est tenu récemment, et les accords de Paris sur le climat, que Trump va quitter dans un an. Il est crucial de s’unir et de décider d’une stratégie commune. L’essor de l’extrême droite en Europe et aux États-Unis représente une menace majeure, tout comme le régime autoritaire de gauche au Mexique. Enfin, bien que le Mexique soit plus proche des États-Unis, la France est plus perméable au wokisme mais cette idéologie arrive dans le pays. Il est donc nécessaire de bâtir un dialogue stratégique entre la France, le Mexique et les États-Unis, en excluant les trumpistes et en s’appuyant sur une alliance de citoyens engagés.
Le mercredi 19 février à 19h30, la Maison de l’Amérique Latine accueillera Mona Jafarian pour une « conversation éclairée » animée par Brice Couturier et Chloé Morin. Cet événement sera l’occasion d’échanger autour des enjeux soulevés par l'ouvrage Je suis Iranienne et de comprendre les luttes qui secouent la société iranienne actuelle.
La lutte des femmes iraniennes pour leur dignité et leur liberté
Les femmes iraniennes affrontent une lutte existentielle contre un régime théocratique oppressif qui limite systématiquement leurs droits fondamentaux. Depuis deux ans, le cri de ralliement « Femme, vie, liberté ! » a éclaté sur la scène internationale, symbolisant un soulèvement inédit face au pouvoir de Téhéran. Mais quelles réalités se cachent derrière ce slogan ? Qu’implique concrètement le quotidien d’une femme dans un tel contexte ?
Un témoignage essentiel
Dans son ouvrage Je suis Iranienne, publié aux éditions de l'Observatoire, Mona Jafarian, cofondatrice de l’association Femme Azadi, dévoile les récits poignants de douze femmes iraniennes. Ces voix courageuses exposent les restrictions et les dangers auxquels elles font face : montrer ses cheveux, chanter ou simplement serrer la main d’un homme peut mener à une incarcération, voire à une exécution.
Ces femmes, qu’elles soient étudiantes, mères de famille, ou issues de lignées symboliques, refusent de se soumettre à la domination imposée par le clergé. Au péril de leur liberté et parfois de leur vie, elles revendiquent leur droit à la dignité. En tissant leurs témoignages avec ses propres réflexions, Mona Jafarian propose une plongée intime et percutante dans la société iranienne contemporaine. Son livre constitue à la fois un hommage vibrant aux femmes qui luttent pour leurs droits et un outil indispensable pour appréhender les dynamiques internes de cette révolte contre la dictature des mollahs.
Quand ? Mercredi 19 février à 19h30
Où ? Maison de l’Amérique latine
217 bd St Germain, 75007, Paris
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