Étiquettes : Environnement

Jeudi 23 mai : « Agriculture et énergies vertes. Des destins communs ? » à AgroParisTech

par L'antenne de Paris-Saclay le 6 mai 2024 23_mai_agriculture
Le jeudi 23 mai, vous êtes invité à une nouvelle table ronde organisée par l'antenne de Paris-Saclay : "Agriculture et énergies vertes. Des destins communs ?". Elle aura lieu à AgroParisTech.
Cette table ronde sera autour de l'agriculture durable et les sources d'énergie renouvelables. Au cœur de cet événement se trouve un dialogue stimulant sur la manière dont ces deux secteurs interagissent, s'influencent mutuellement et offrent des solutions innovantes aux défis environnementaux contemporains. Nous mettrons en lumière les meilleures pratiques en matière d'agroécologie, d'énergies renouvelables et de synergies entre les deux domaines. Comment promouvoir une agriculture respectueuse de l'environnement et développer des sources d'énergie propres ? Intervenants : Antoine Armand, député, auteur " Le mur énergétique français" Benoît Gabrielle, enseignant-chercheur AgroParisTech - Physique de l'environnement et bioénergies. Auteur principal du chapitre "Bioénergies" du rapport du GIEC de 2011. Clémence Daudé, responsable des partenariats agricoles de Photosol. Ancienne analyste agricole pour le ministère de l'Europe et des Affaires Étrangères. Échanges suivis d'un cocktail Quand ? Jeudi 23 mai, à 18h Où ? AgroParisTech 22 place de l'Agronomie, 91120 Palaiseau Participation libre, inscription obligatoire Pour s'inscrire, cliquez ici

Équilibre fragile de la biodiversité : un appel à l’action !

par Tatiana Giraud le 26 mars 2024 Tatiana Giraud
Entretien avec Tatiana Giraud, membre de l’Académie des sciences, écologiste et biologiste reconnue pour ses recherches sur la biodiversité et les interactions entre espèces. Elle est actuellement directrice de recherche au CNRS et autrice de l'ouvrage "L'attention au vivant" (ed. de l'Observatoire, collection Laboratoire de la République). Face à l'effondrement de la biodiversité, elle explore le rôle crucial de toutes les espèces sur Terre et de l'équilibre de tout notre écosystème pour notre propre existence.
Dans un monde où la biodiversité est menacée par des pressions croissantes, le livre "L'attention au vivant" de Tatiana Giraud offre une lueur d'espoir et un appel à l'action. À travers cet ouvrage percutant, elle explore les intrications complexes de l'effondrement de la biodiversité et souligne le rôle essentiel que celle-ci joue dans le maintien de l'équilibre écologique de notre planète. "L'attention au vivant" n'est pas seulement un appel à l'action, c'est aussi un plaidoyer passionné pour la préservation de la vie sous toutes ses formes. Cet entretien avec Tatiana Giraud nous invite à réfléchir sur notre rapport à la biodiversité et nous inspire à devenir des acteurs du changement pour un avenir où la vie prospère dans toute sa splendeur. https://youtu.be/aIREfWj5BXI?feature=shared

Ouverture d’une nouvelle antenne à Agro Paris Tech !

par L'antenne de Paris-Saclay le 28 février 2024
Cette table ronde "S'engager pour la protection de la biodiversité" a été organisée avec des associations de jeunesse, ainsi que des intervenants faisant valoir leurs expériences et approches s’agissant de la protection de la biodiversité. Science, sensibilisation, et institutions ont été autant de thèmes évoqués avec la présence de Philippe Vallette (président du Forum mondial des aquariums, membre du Conseil scientifique de la Fondation de la Mer), Antoine Gardarin (agronome-écologue AgroParisTech) et Virginie Atlan (présidente de Nous Les Ambitieuses ! , fondatrice du concours « Embarquement immédiat »). L'évènement a marqué l'ouverture d'une nouvelle antenne du Laboratoire de la République.
Mercredi 21 février, AgroParisTech a été le théâtre d'un événement marquant pour la protection de la biodiversité. En effet, cette table ronde a célébré l'ouverture d'une nouvelle antenne du Laboratoire de la République dédiée à cette cause essentielle. Plusieurs personnalités se sont rassemblées pour discuter des enjeux actuels et des actions concrètes à entreprendre pour préserver la diversité biologique de notre planète. L'événement a ainsi été l'occasion de souligner l'importance de s'engager activement dans la protection de la biodiversité et d'encourager la collaboration entre les différentes parties prenantes pour relever ce défi crucial pour l'avenir de notre environnement. https://youtu.be/dpD_lcmtx9s

L’enjeu de l’écologie : nouvel engagement de l’antenne lilloise

par L'antenne de Lille le 27 février 2024 Evenement-lille-sciencepo
À travers une conférence organisée en collaboration avec les associations Actu.Eco et l’Arène à Sciences-Po Lille, notre antenne a offert aux étudiants une occasion privilégiée d'explorer les voies de la transition écologique. Sous le thème évocateur "Changer de cap écologique : vers un paradigme économique et démocratique renouvelé", cette conférence-débat a suscité un vif intérêt et a ouvert des perspectives stimulantes pour un avenir plus durable.
Ce 19 février 2024, l’Antenne lilloise du Laboratoire de la République a de nouveau pu manifester de son engagement de fédérer la jeunesse autour des problématiques liées à l’un des enjeux majeurs de notre siècle : l’Ecologie. C’est à l’occasion d’une conférence organisée en partenariat avec les associations Actu.Eco et l’Arène à Sciences-Po Lille que notre équipe a pu inviter les étudiants à assister à une conférence-débat sur le thème de la transition écologique, « Changer de cap écologique : vers un paradigme économique et démocratique renouvelé ».  Le Laboratoire de la République a eu le plaisir de recevoir Romain Dekeyser, responsable innovation et transition à la Caisse d’Epargne Hauts-de-France, Celine Scavennec, conseillère départementale du Nord ainsi que Jean-Michel Blanquer, fondateur et président du Laboratoire de la République, afin de débattre des dimensions économique, écologique et démocratique de la transition écologique. Entre conciliation de la croissance économique avec la transition écologique, la question de l’égalité dans l’accès à un mode de vie plus responsable ou encore les sacrifices qu’implique ce changement de cap, la dépendance entre transition économique et démocratique, et la transition écologique se sont retrouvées au cœur de l’évènement. L’idée d’une croissance verte s’est affirmée comme indissociable de la mise en place du processus de décarbonisation, un processus dans lequel il est nécessaire d’accompagner toutes les entreprises qui en manifestent la volonté. Toutefois, la question est de savoir comment sont définies les notions de croissance et de décroissance dans ce contexte. En effet, comme a pu l’exprimer C. Scavennec, l’usage du greenwashing est un véritable « fléau ». La notion de croissance verte pourrait ainsi être mise à mal par des projets qui ne répondraient pas réellement aux besoins de la transition écologique mais promouvrait une image éco- responsable à leur profit. Selon JM. Blanquer, la conciliation entre croissance et transition écologique « nous renvoie à des sujets de normes et à des enjeux géopolitiques ». L’impact sur la vie des gens est d’une ampleur considérable, ainsi la problématique d’une croissance verte efficace se doit d’être appréhendée sous un angle qualitatif et systémique. L’égalité face à la transition écologique est un sujet qui fait débat car malheureusement, ce n’est pas une réalité. Les conditions de vie de chacun, leurs moyens financiers, et une pluralité d’autres facteurs peuvent impacter l’accès des citoyens à un mode de vie plus éco- responsable. Toutefois, l’idée que chacun peut contribuer à ce changement de cap écologique est une opinion partagée par tous. En effet, l’acquisition de compétences, qu’elles soient de nature civique ou professionnelle, est essentielle pour répondre à ces enjeux, comme a pu l’exprimer JM. Blanquer. L’expérience de R. Dekeyser au sein du secteur bancaire lui a apprit qu’il en va du rôle du banquier de s’intéresser aux tendances de fonds du secteur et aux réglementations, pour accompagner au mieux les entreprises dans leur transition. Cet engagement est d’ailleurs conditionné par la réalisation d’un bilan carbone par ces entreprises. Il a également appuyé sur la nécessité, pour construire un cadre le plus égalitaire possible, de s’assurer d’une telle dynamique dans les fonds privés comme publics. C. Scanvennec a rebondit sur ce sujet en affirmant l’importance de s’attaquer à un marché plus massif, à un marché collectif qui dépasse l’échelle individuelle pour provoquer un réel changement. La conseillère régionale a rappelé que « la transition écologique individuelle est un luxe». Il est essentiel de proposer des produits éco-responsables sur le marché, en particulier le marché public qui représente un levier majeur pour rendre ces produits accessibles au plus grand nombre. Toutefois, l’engagement individuel ne peut pas être négligé pour autant, tant il est prometteur. JM. Blanquer a soutenu cette idée, déclarant que « Nous devons une formation adéquate à chacun en la matière ». La nécessité de mettre en œuvre un travail éducatif pour tous est essentielle pour relever le défi de la transition écologique, bien qu’il implique inéluctablement des sacrifices.Ces sacrifices, ces contraintes, désignent un sentiment ressenti par une large partie de la population française en raison de l’impact considérable des normes qui les imposent, sur leur mode de vie ou sur leur activité professionnelle. Se pose alors la question de la confrontation entre urgence et respect des principes démocratiques. «L’inaction serait punitive pour la société», ce sont par ces mots forts que répond C. Scavennec, affirmant que l’engagement de mesures efficaces est primordial pour la progression de la transition écologique et qu’il faut en finir avec le « récit de la contrainte ». Pour JM. Blanquer, la réponse est claire : la démocratie est menacée par des forces de fragmentation et une véritable solution ne pourra émerger que par le biais du collectif. L’écologie est, selon lui, « un sujet majeur qui nous ramène à des enjeux plus républicains que démocratiques ». La conférence s’est soldée sur un moment de discussion et d’échange entre les intervenants et les étudiants venus nombreux, permettant ainsi à chacun de revenir sur les moments marquants et les idées évoquées. Bien plus qu’une confrontation entre les différentes dimensions de la transition écologique, ce fut un véritable moment de partage d’opinions autour d’un enjeu actuel majeur, et qui résonne déjà dans les décennies à venir.

Agriculture durable en Europe : entre défis, innovations et réalités

par Fanny Barthelemy le 27 février 2024
L'impact du dérèglement climatique sur la production agricole et viticole en Europe est devenu une préoccupation majeure. Des initiatives européennes telles que le Green Deal visent à rendre l'agriculture plus respectueuse de l'environnement et à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Cependant, cette transition vers une agriculture plus durable n'est pas sans susciter des critiques, notamment de la part des agriculteurs. Certains estiment que les normes environnementales imposées par l'Union européenne entraînent une accumulation de contraintes et de normes jugées excessives. Alors que la préservation de l'environnement est cruciale, il devient impératif de trouver un équilibre entre les objectifs environnementaux ambitieux et la viabilité économique des exploitations agricoles. Fanny Barthelemy, fondatrice d’OWA Learning, formatrice et consultante sur les enjeux du développement et de la transformation durable, nous fait part de son expertise.
Le Laboratoire de la République : Quels sont les impacts concrets du dérèglement climatique sur la production agricole et viticole en Europe ? Comment le secteur s'adapte-t-il à ces changements ? Fanny Barthelemy : Le dérèglement climatique, avec son cortège de phénomènes météorologiques extrêmes, représente une menace croissante pour l'agriculture et la viticulture européennes et bouleverse les écosystèmes agricoles européens. Les agriculteurs et viticulteurs sont confrontés à des défis croissants, notamment l'altération des cycles des cultures, la fréquence accrue des événements extrêmes comme les vagues de chaleur ou les gelées tardives, qui compromettent la floraison et la fructification. Les changements dans la distribution des précipitations entraînent soit des périodes de sécheresse prolongées, soit des inondations, affectant ainsi la qualité et la quantité des récoltes. Ces dérèglements perturbent également les cycles de croissance et augmentent la prévalence des maladies et des ravageurs. En réponse à ces dérèglements, le secteur agricole fait face et innove avec l'adoption de méthodes telles que l'agriculture biologique, en biodynamie, de conservation des sols, agriculture régénératrice qui renforcent notamment la résilience des sols. L’innovation variétale est un des éléments techniques de réponse à ces enjeux. Les organismes de défense et de gestion (ODG) ont désormais la possibilité d’intégrer de nouvelles variétés dans leur cahier des charges, une possibilité encadrée par la réglementation française et européenne. Ces nouvelles variétés sont dénommées Variétés d’intérêt à des fins d’adaptation (VIFA) pour les ODG d’AOP (directive INAO). Afin d’aider les viticulteurs, InterLoire a par exemple publié un guide sur les variétés d’intérêt à fin d’adaptation. Le cépage « Voltis » a été agréé, en phase de test, pour la production de Champagne AOC. Il s'agit d'un essai d'un cépage à « résistance durable » (ResDur1) qui permet de réduire drastiquement les traitements phytosanitaires contre les maladies fongiques (mildiou et oïdium) dans le domaine de l'appellation. Ceci dans le cadre des "Variétés d'Intérêt à Fin d'Adaptation" (VIFA), soit jusqu'à 5 % des surfaces cultivées d'une exploitation et jusqu'à 10 % des mélanges sur une durée de 5 ans (renouvelable une fois que). L'ajustement des périodes de semis et de récolte, la diversification des altitudes de plantation sont quelques-unes des autres stratégies adoptées. Les nouvelles technologies, telles que les satellites et les capteurs de sol, permettent un suivi en temps réel des besoins des cultures, contribuant ainsi à une gestion plus efficace des ressources. La télédétection par satellite, par exemple, a permis aux agriculteurs de réduire l'usage des engrais en ajustant l'apport aux besoins réels des plantes. Ces innovations représentent des étapes importantes vers une agriculture européenne plus résiliente et adaptative, capable de répondre aux exigences d'un climat en mutation. Le Laboratoire de la République : Quelles sont les principales initiatives de l'Union européenne en matière d'agriculture durable pour faire face aux défis du dérèglement climatique ? Fanny Barthelemy : L'Union européenne (UE) est attachée à promouvoir des pratiques agricoles durables, consciente des défis environnementaux et sociaux auxquels le secteur est confronté. Dans un contexte de changement climatique et de diminution de la biodiversité, l'UE a redoublé d'efforts pour assurer la pérennité de l'agriculture tout en préservant les ressources naturelles. Face à ces défis, l'Union européenne a lancé plusieurs initiatives clés. La stratégie "De la ferme à la fourchette" s'inscrit dans le cadre du Green Deal européen et vise à rendre les systèmes alimentaires durables et résilients. Son objectif est de tendre vers « un système alimentaire équitable, sain et respectueux de l’environnement », tout en limitant les émissions de CO2 et en minimisant les atteintes à la biodiversité. L'accent est mis sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l'agroécologie, la protection de la biodiversité et le renforcement de la chaîne d'approvisionnement alimentaire. Elle comprend donc des mesures pour promouvoir des aliments sains et durables, réduire l'empreinte environnementale et sociale de la production alimentaire, et renforcer la résilience des producteurs. Un des objectifs spécifiques est d'atteindre 25% de terres agricoles consacrées à l'agriculture biologique d'ici 2030. Exemples d’initiative : Le projet "LIFE Agriadapt" avait pour but d'adapter l'agriculture européenne au changement climatique en développant des pratiques agricoles durables adaptées à différentes régions. Face aux enjeux climatiques pour l'agriculture française et européenne, le projet européen LIFE AgriAdapt a élaboré diverses ressources, outils et méthodes pour l'adaptation durable des exploitations agricoles de grandes cultures, élevage, cultures permanentes. 4 organisations situées en France (Solagro), Allemagne (LCF), Espagne (FGN) et Estonie (EMU) se sont associées dans le cadre de ce projet (sur la période allant de septembre 2016 à avril 2020). La singularité de Life AgriAdapt est d'avoir développé et appliqué une méthodologie commune permettant de caractériser la vulnérabilité climatique à l'échelle de l'exploitation agricole sur un réseau de 126 fermes pilotes en Europe, dont 34 suivies par Solagro en régions Occitanie et Grand Est1. "Horizon Europe" est l'initiative phare de l'UE dans le domaine de la recherche et du développement, décomposée en différents clusters. Le mandat d'Horizon Europe pour le Cluster 6 (alimentation, bioéconomie, ressources naturelles, agriculture et environnement) est de fournir des opportunités pour renforcer et équilibrer les objectifs environnementaux, sociaux et économiques et de mettre les activités économiques humaines sur la voie de la durabilité. Par conséquent, le paradigme sous-jacent du Cluster 6 est la nécessité d'un changement transformateur de l'économie et de la société de l'UE pour réduire la dégradation de l'environnement, stopper et inverser le déclin de la biodiversité et mieux gérer les ressources naturelles tout en répondant aux objectifs climatiques de l'UE et en assurant la sécurité alimentaire et hydrique. Il prend en compte le contexte géopolitique en évolution et les nouvelles priorités de recherche et d'innovation axées sur le renforcement de l'autonomie stratégique ouverte de l'UE, en particulier dans les secteurs de l'énergie et de l'alimentation. Un de ses orientations stratégiques clés est de restaurer les écosystèmes de l'Europe et la biodiversité, et gérer de manière durable les ressources naturelles pour assurer la sécurité alimentaire et un environnement propre et sain2. Le Laboratoire de la République : Les agriculteurs dénoncent les normes environnementales de l’Union européenne et notamment le Green Deal qui imposeraient un empilement de normes et de contraintes. Les agriculteurs sont-ils excessivement impactés par la politique environnementale de l'Union européenne ? Fanny Barthelemy : Bien que la transition vers une agriculture plus durable soit essentielle, elle n'est pas sans défis pour les agriculteurs. Certains estiment que le Green Deal et les réformes de la Politique Agricole Commune (PAC) introduisent une multiplicité de normes qui pèsent lourdement sur leur compétitivité, de plus l'application uniforme de ces normes sur l'hétérogénéité des pratiques agricoles européennes soulève des questions d'équité et d'efficacité. L'adoption de pratiques agricoles plus respectueuses de l'environnement nécessite des investissements importants et une période d'ajustement, et il est crucial que l'UE accompagne les agriculteurs à travers des aides financières et techniques, ainsi qu'une transition équitable et graduelle. L'enjeu est de taille : il s'agit de préserver la sécurité alimentaire de l'Europe tout en répondant aux exigences de la lutte contre le changement climatique et la préservation de la biodiversité.

Mercredi 21 février : « S’engager pour la protection de la biodiversité »

par L'antenne de Paris-Saclay le 19 février 2024
A l'occasion de l'ouverture d'une antenne à Paris-Saclay, le Laboratoire organise une table ronde "S'engager pour la protection de la biodiversité", le mercredi 21 février à 18h30.
Le Laboratoire de la République lance son antenne sur le plateau de Saclay ! Venez assister à notre table ronde organisée avec des associations de jeunesse, ainsi que des intervenants faisant valoir leurs expériences et approches s'agissant de la protection de la biodiversité. Science, sensibilisation, et institutions seront autant de thèmes évoqués avec la présence de : - Philippe Vallette : Président du Forum mondial des aquariums, membre du Conseil scientifique de la Fondation de la Mer - Antoine Gardarin : Agronome-écologue AgroParisTech - Virginie Atlan : Présidente de Nous Les Ambitieuses ! , fondatrice du concours « Embarquement immédiat » En présence de Jean-Michel Blanquer, Président du Laboratoire de la République, qui introduira ces tables rondes et évoquera l’importance de cet engagement pour la transition écologique ! ⚠️ Inscription obligatoire, et inscription au cocktail obligatoire, places limitées. Quand ? Mercredi 21 février, 18h30 Où ? Université Paris-Saclay - Amphithéâtre B1.01 - 22 place de l'Agronomie, 91120 Palaiseau Pour s'inscrire, cliquez ici

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