Dans un contexte de grande incertitude politique, de défiance face à l’organisation des pouvoirs et de leur « séparation », il est fondamental de repenser la nature de notre régime, son évolution et ses potentiels dévoiements. Cet événement sera l’occasion d’échanger autour des enjeux soulevés par l'ouvrage "Le nouveau régime ou l’impossible parlementarisme" et d’interroger les institutions de la Ve République.
“Le pouvoir naguère à l’Élysée est revenu à une Assemblée perçue encore récemment comme une caisse enregistreuse. Dans une chambre composée de 25 % de députés du RN et de 12,5 % de LFI, le champ des alliances possible s’est réduit, contraignant à des accords baroques dans une configuration rappelant celle de la IVe République finissante. La Ve se révèle être un véritable régime parlementaire soumis aux mêmes difficultés que ses voisins européens. Or, l’héritage du général de Gaulle pèse de tout son poids sur notre conception du régime. Cette transformation n’est pas acceptée par des acteurs attachés au présidentialisme. Cela mène à tordre le texte, à en exploiter les failles, légitimement, pour surmonter les blocages, mais également pour maintenir un rapport de force que certains estiment plus favorable. Toutefois, les précédents ainsi créés ne sont pas sans risque. L’illibéralisme d’un régime politique provient rarement d’une nouvelle Constitution, mais de la réinterprétation d’un texte existant. La période actuelle a révélé des brèches qui, si elles peuvent être utilisées avec les meilleures intentions aujourd’hui, pourraient demain nous conduire sur une pente glissante. C’est le récit de cette transformation inédite que fait Benjamin Morel.”
Informations pratiques
Date et heure : jeudi 24 avril à 19h30
Lieu : Maison de l’Amérique Latine
Tarif : 10 euros (gratuit pour les adhérents)
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Mercredi 3 avril, l’antenne d’Orléans a eu le plaisir d’organiser une conférence autour du thème des énergies du futur, en présence de deux intervenantes de haut niveau : Annick Noble, directrice régionale de Total Énergie pour le Centre-Val de Loire, et Christine Rousselle, professeure à Polytech Orléans et spécialiste des questions liées à l’hydrogène.
Les échanges ont débuté par un constat lucide sur la situation énergétique mondiale. Aujourd’hui, 4,5 milliards d’êtres humains n’atteignent pas le niveau minimal de consommation énergétique estimé à 70 GJ par habitant, tandis que certains pays dépassent les 240 GJ/hab. D’ici 2050, la demande énergétique sera multipliée par quatre, la demande d’électricité croissant au même rythme que le PIB mondial. Si la croissance des énergies renouvelables s’est accélérée depuis 2015, 74 % de la production mondiale d’électricité repose encore sur le charbon ou le gaz naturel. Le transport constitue le deuxième poste d’émission de gaz à effet de serre.
Dans ce contexte, plusieurs technologies déjà matures permettent de réduire les émissions : remplacer le charbon par du gaz et des renouvelables pourrait éviter jusqu’à 8 milliards de tonnes de CO₂, et l’électrification du transport routier jusqu’à 6 milliards. Toutefois, les scénarios prospectifs (Trends, Momentum, Rupture) montrent que seule une véritable rupture permettrait de rester sous le seuil de +2°C, alors que le scénario actuel (« Trends ») conduit à une hausse de +2,7°C.
La conférence a permis de discuter des leviers techniques nécessaires : électrification, décarbonation du réseau, mobilité durable, biogaz, circularité des plastiques, ou encore CCS (Carbon Capture and Storage). Mme Rousselle a mis en garde contre une vision idéalisée de la transition énergétique, qui génère paradoxalement du CO₂ (fabrication d’éoliennes, infrastructures) et dépend d’investissements lourds.
Elle a également souligné les difficultés structurelles : inertie des systèmes, acceptabilité sociale limitée (rejets locaux d’éoliennes ou de champs photovoltaïques), retards d’infrastructures et manque d’investissement privé. La transition électrique de la France est estimée à 80 milliards d’euros par an, soit environ 1200 € par habitant. À cela s’ajoute le besoin d’environ 150 réacteurs nucléaires, avec un délai moyen de 10 ans pour leur construction.
Le débat a mis en lumière la complexité du développement de l’hydrogène : aujourd’hui, la France en consomme 1 million de tonnes par an à usage industriel, mais l’hydrogène vert reste marginal. Plusieurs types existent :
• Gris / Noir : issu des énergies fossiles ;
• Bleu : identique mais avec captation du CO₂ ;
• Vert : produit via électrolyse de l’eau ;
• Orange, Jaune, Blanc : selon l’origine (nucléaire, catalyseurs, sources naturelles souterraines).
Toutefois, l’hydrogène est explosif, coûteux, difficile à stocker, et ne peut être généralisé sans coordination de la demande. D’autres options comme l’ammoniac, liquide mais toxique, sont aussi à l’étude.
Enfin, les intervenantes ont insisté sur la nécessité d’un mix énergétique adapté à chaque territoire. Il n’existe pas de solution unique : la Norvège a presque entièrement électrifié ses transports, quand Singapour dépend de l’électricité importée de Malaisie. Les camions longue distance pourraient fonctionner à l’hydrogène (malgré un coût 6x supérieur), ceux de courte distance à l’électricité, tandis que l’aviation reste le secteur le plus difficile à décarboner, malgré les biocarburants.
À l’échelle européenne, bien que l’UE ne représente que 8 % des émissions mondiales, son rôle normatif reste essentiel. Mais sans pérennité des politiques publiques ni connaissance fine des enjeux par les décideurs, les efforts restent limités. Le nucléaire, bien qu’en croissance (avec 450 centrales dans le monde, dont 60 en construction), ne peut à lui seul porter la transition.
Les deux intervenantes ont conclu en soulignant que cette transition nécessite des choix politiques stables, un engagement collectif et un changement de mentalité. Il ne s’agit plus de savoir si nous devons agir, mais comment le faire, avec réalisme, ambition et justice.
Le 24 mars 2025, l’antenne de Sciences Po Paris du Laboratoire de la République a tenu sa première conférence modérée par Jean Lacombe. Julie Klein, agrégée et docteure en droit privé et professeure à Sciences Po accompagnée de Steffy Alexandrian, présidente de l’association Carl, ont échangé sur la question de la protection de l’enfant face aux violences intrafamiliales.
Les violences intrafamiliales désignent, selon Julie Klein, une forme de maltraitance, qu’elle soit physique (brûlures, abus sexuels...), psychologique (punitions) ou économique, exercée au sein de la cellule familiale. Or, ces violences ont, pour Steffi Alexandrian, des conséquences qui doivent être mesurées au moment où elles sont commises. En effet, la cellule familiale est un repère de confiance pour les enfants, qui ne se rendent pas compte de suite que les situations vécues sont anormales.
Julie Klein, a tenu à rappeler que le cadre judiciaire des violences intrafamiliales avait évolué. De ce fait, si le Code civil de 1804 autorise un père à faire emprisonner son enfant, une loi de 1991 abroge la légalité de cette violence. De même, l’inceste est définit dans le Code Pénal comme une relation sexuelle entre un mineur et un membre de sa famille (relation de parenté ou d’autorité). La peine encourue peut aller jusqu'à vingt ans de réclusion criminelle (dix ans d’emprisonnement s’il s’agit d’une agression sans pénétration). Cela met en lumière le progrès de la législation concernant ces violences.
Nonobstant, les progrès législatifs demeurent plutôt récents et certaines pratiques pouvant être qualifiées d’incestueuses sont ancrées dans les mœurs. Steffy Alexandrian relève que si embrasser son enfant sur la bouche est relativement admis, l’acte peut être vu comme une violence. De même, selon une étude publiée par l’IFOP en 2022, 79% des parents sont auteurs de violences éducatives ordinaires; alors que la loi « anti fessée » de 2019 interdit les pratiques punitives. Elle a pour objectif de rappeler aux parents qu’ils peuvent éduquer leurs enfants sans les frapper ou les humilier. Mmes Klein et Alexandrian portent néanmoins un regard critique sur cette loi puisque celle-ci incrimine sans réprimer : il n’y a pas de sanctions véritables pour les parents exerçant ce type de violence.
Ainsi, la question des violences éducatives ordinaires témoigne des difficultés du lien entre le droit et la sociologie, alors qu’ils devraient être ramenés sur le même plan, pour défendre un modèle d’éducation plus bienveillant. Quelles procédures pour sortir de ces violences faites aux enfants ? En cas de violence intrafamiliale révélée ou suspectée, il peut y avoir saisie de la justice pénale ; souvent a posteriori, et/ou des signalements par des alertes sur les réseaux sociaux. Des déclarations, de la part des systèmes médicaux ou scolaires peuvent faire intervenir la justice et les travailleurs sociaux, qui prennent des mesures sur les plans pénal et civil.
Un reproche récurrent est fait au gouvernement : le manque de statistiques (14% des filles et 10% des garçons signalés comme ayant subi des violences psychologiques, 160 000 enfants par an concernant les violences sexuelles, les enfants en situation de handicap ont trois fois plus de risque d’être victimes de violences sexuelles, à l’échelle nationale un enfant est tué tous les cinq jours.) Sur 1000 français, 24% se sont dit avoir été victimes de maltraitance grave pendant leur enfance et sur les enfants exposés aux violences conjugales, 98% des enfants sont victimes indirectes pour 37% de victimes directes. Enfin, 51 754 mineurs sont victimes de violences physiques.
Un mouvement est cependant observable : la société a envie de s’intéresser à ce sujet, de se former ; le principal problème étant de donner les moyens aux acteurs désireux de changements. Il existe un problème de moyens pour la justice : notamment un manque de magistrats dédiés à ces questions. Il faut noter aussi un manque de temps, de formation et des principes qui se confrontent (parole de l’enfant, présomption d’innocence). Le risque majeur demeure l’erreur judiciaire grave. La parole de l’enfant peut être instrumentalisée dans le cadre d’une séparation difficile.
La question du retrait de l’autorité parentale est une question très discutée dans l’actualité juridique. Tout l’enjeu pour la défense étant de montrer que dans le cadre de violences intrafamiliales, les parents ne sont plus en mesure de défendre l’intérêt supérieur de l’enfant. La question d’une suspension de l’autorité parentale se pose alors, un droit-fonction selon Steffi Alexandrian avec comme contrepoids l’intérêt même de l’enfant. Le cas de l’affaire Marina a beaucoup fait réfléchir les autorités juridiques quant à la nécessité de motiver cette suspension d’autorité : il faut des indices graves montrant que l’intérêt de l’enfant a été mis en danger.
En dernier lieu, Julie Klein revenait sur le point de la prescription dans les affaires des violences sur des mineurs, qui perdure souvent dans le temps. La prescription a augmenté le 3 août 2018 — la victime de violences peut maintenant porter plainte jusqu'à 48 ans sans que les conditions ne changent. De même, le 21 avril 2021, l’option de prescription glissante permet de concevoir que même si l’auteur agit sur des victimes différentes, on utilisera automatiquement la prescription de la dernière victime pour l’ensemble.
Comment améliorer la protection des enfants ? Nos deux intervenantes défendent la nécessité d’impliquer plus de moyens : matériels et humains. Elles s’entendent sur la possibilité de la prescription glissante, l’augmentation des moyens pour les magistrats et les travailleurs sociaux, l’augmentation de la prévention. D'après les intervenantes, on possède en France un arsenal légal perfectible mais plutôt satisfaisant, et il faut laisser du temps pour que la loi puisse « faire ses preuves » — changer de manière régulière est contre-productif. Il est essentiel que l’on instruise davantage la réflexion et les travaux sur le sujet : la théorie apporte toujours beaucoup d’éléments à la pratique et leur union ne peut que renforcer l’efficacité du système.
Les deux intervenantes ajoutent, au sujet de l’impossibilité de supprimer les délais de prescription, qu'un risque de ne plus pouvoir réunir les preuves nécessaires à une condamnation des décennies après les faits est très présent, et pourrait constituer un obstacle sur la route des victimes cherchant à tourner la page.
Voir la captation :
https://www.youtube.com/watch?v=KBRUu-PwSeQ
Le 2 avril, l’Université Lyon 3, en partenariat avec l’association étudiante Le Vide Juridique, a accueilli Jean-Michel Blanquer à la MILC pour une conférence. Cet événement a été l’occasion d’un échange approfondi sur des sujets fondamentaux tels que la laïcité dans les établissements scolaires, le niveau scolaire des élèves, l’inclusion par l’éducation et les enjeux écologiques.
Monsieur Blanquer a notamment abordé l’impact de la crise du Covid et du confinement sur les élèves, ainsi que les mesures mises en place sous son impulsion au sein de l’Éducation nationale, comme la création des éco-délégués et le dédoublement des classes. Il a également évoqué des thématiques majeures qui interrogent aujourd’hui notre système scolaire : le respect de la laïcité, la liberté d’expression, la lutte contre les communautarismes et la montée de l’extrême droite.
Une conférence au croisement des enjeux sociétaux
Cette conférence a permis d’analyser l’évolution du principe de laïcité dans la société et plus spécifiquement au sein des établissements scolaires, en soulignant les tensions qui existent et la nécessité de continuer à promouvoir ce pilier de notre pacte républicain. Un accent particulier a été mis sur les enjeux écologiques et leur intégration croissante dans le débat éducatif.
Un échange enrichissant avec les étudiants
Après une discussion animée entre les intervenants, la conférence s’est clôturée par un moment d’échange avec les étudiants. Ces derniers ont pu poser leurs questions et partager leurs réflexions, permettant ainsi de saisir les défis et préoccupations auxquels les jeunes générations sont confrontées.
Cet événement a confirmé le rôle essentiel de l’école dans la transmission des valeurs républicaines et a souligné l’importance du dialogue apaisé entre tous les acteurs du monde éducations, du décideur à l’étudiant pour relever les défis de demain.
Instagram de l'antenne de Lyon
Le 20 mars dernier, la commission "République Laïque" du Laboratoire, animée par Michel Lalande, organisait un grand évènement autour du sport et de la neutralité à la maison de l'Amérique Latine. Retrouvez en vidéo l'intégralité de cette conférence.
Alors que la proposition de loi du sénateur LR de l'Isère Michel Savin visant à assurer le respect du principe de laïcité dans le sport a été adoptée en première lecture au Sénat, le 18 février dernier, le débat public a très vite glissé vers la seule question du port du voile, devenant ainsi aussi binaire que contreproductif.
Le Laboratoire a souhaité à travers cette table-ronde apporter une voix de raison, montrant que le respect de la neutralité dans le sport est un enjeu qui dépasse largement la seule question du voile, instrumentalisée tant par l'extrême gauche au nom d'un concept dévoyé de liberté, que par l'extrême-droite qui y voit une opportunité de flatter les plus bas instincts populistes.
Ce débat est fondamentalement faussé par une mauvaise compréhension du sujet en général, et de l'architecture du sport français en particulier. Chose qu'a démontré de manière limpide Médéric Chapitaux, sociologue spécialiste de la radicalisation dans le sport.
La discussion a ensuite laissé la part belle aux témoignages de terrain : Quentin Fouquereau, journaliste infiltré dans un club de Ju-Jitsu brésilien, et Elisabeth Alonso, référente laïcité de la Fédération de Boxe ont pu fournir des éclairages précieux, nourris par une pratique régulière du terrain.
Frédéric Thiriez, ancien président de la FFF a ensuite rappelé que ce n’était pas le principe de laïcité qui justifiait l’interdiction des signes politiques, religieux, syndicaux ou philosophiques sur le terrain de sport mais bien les valeurs universelles et fondamentales du sport telles qu’elles sont écrites dans la Charte olympique, qui interdit toute discrimination et qui pose le principe de l‘égalité absolue entre les hommes et les femmes.
Annie Sugier, présidente de la Ligue du droit international des femmes, a insisté sur cette idée que la "laïcité à la française" était contreproductive dans le domaine du sport. La France doit appliquer qu'appliquer strictement les valeurs pronées par la Charte Olympique, avant qu'elle ne soit mise sous pression par l'Iran qui a crée des exigences discriminatoires, et tordu l'idéal féministe.
Enfin, Iannis Roder, enseignant d'histoire-géographie en Seine Saint-Denis et membre du conseil des sages de la laïcité, est revenu sur le concept d'évitement en milieu scolaire. Richard Senghor, haut fonctionnaire, a lui souligné que la notion de laïcité ne suffisait pas à répondre à tous les problèmes, et que la République disposait de nombreux outils, notamment juridiques, dont il fallait se servir. Il a aussi rappelé qu'il fallait relativiser le sujet : les clubs de sport qui posent problème restent largement minoritaires, et dans la plupart des cas, le problème réussi à être jugulé de manière satisfaisante.
Retrouvez la vidéo en intégralité.
https://www.youtube.com/watch?v=01ibvBjhLV8
Le 9 avril prochain, le Laboratoire de la République vous invite à assister à une conférence autour d’un sujet que les actualités dramatiques récentes n’ont pas permis de suffisamment mettre en lumière: la situation en Arménie dans un contexte de négociations de paix avec l’Azerbaïdjan.
Alors que la finalisation prochaine d’un accord de paix a été annoncée le 14 mars dernier, comment juger ce tournant géopolitique, « vers quel type de paix allons-nous entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan ? »
Pour répondre à cette question et interroger le rôle des acteurs internationaux dans ce contexte, Jean-Michel Blanquer (Président du Laboratoire de la République) réunira autour de lui : le géopolitologue et essayiste Frédéric Encel, l’écrivain et aventurier Patrice Franceschi, Hovhannès Guévorkian (représentant du Haut-Karabagh en France), Franck Papazian (Président du groupe MediaSchool et coprésident du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France) et Elisabeth Pierson (journaliste actualité/International au Figaro) qui rentrera d’Arménie.
Notre conférence s'articulera en plusieurs temps afin d'offrir une analyse approfondie des dynamiques actuelles du conflit et de ses perspectives d'évolution, notamment autour d’un potentiel nouveau traité. La soirée se conclura par une session de questions-réponses avec le public.
Informations pratiques :
Quand ? mercredi 9 avril, 19h30
Où ? Maison de l’Amérique latine, 217 Bd. Saint-Germain, 75006 Paris
Tarif : Gratuit
Inscription obligatoire en ligne
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